Activités insolites Paris : voici le top 7 des activités originales à faire dans la capitale !
Bien le bonjour toi !
J’espère que ton année 2023 commence sur les chapeaux de roue et que janvier a été l’occasion pour toi de faire le plein d’énergie pour partir à la découverte du monde !
Et ce mois-ci, on embarque pour Paris !
« Paris ? Tu parles d’une découverte ! »
Je t’entends d’ici.
Mais destination classique ne veut pas dire voyage banal : dans cet article, il ne sera pas question de Tour Eiffel ou d’autre attraction vue et revue. Je te livre ici 7 activités insolites pour donner un coup de neuf à tes city-trip parisiens !
Et bonne nouvelle, la plupart de ces activités insolites à Paris sont gratuites.
C’est parti !
1. LA MAISON DEYROLLE
46 rue du Bac 75007 Paris
Eh oui, Un Brin de Voyage t’emmène chez un taxidermiste. Voilà un truc auquel tu n’aurais jamais pensé, hein ?
Plus qu’un magasin, Deyrolle est donc un véritable musée d’histoire naturelle – que dis-je – un cabinet de curiosités !
Une seule mise en garde avant d’entrer : être prêt à croiser la route de rhinocéros, lions, buffles, paons, éléphants, volatiles en tous genres et mille autres bizarreries… comme des fioles de jus de dragon, par exemple (???).
Pour les plus délicats d’entre vous, une salle entière est consacrée à la collection de papillons de la maison, faite d’espèces rarissimes !
Enfin, tu trouveras des planches murales et des ouvrages édités par la maison spécialisés sur la zoologie, la botanique, ou encore l’anatomie et qui lui ont valu, dès sa création en 1831 (eh oui, ça date !), un immense succès auprès d’écoles et d’universités du monde entier.
Pour couronner le tout, ces raretés se trouvent dans un magnifique immeuble d’époque, orné de boiseries et de dorures qui donnent encore un cachet supplémentaire à ce lieu hors du temps.
À moins d’être fana de taxidermie (ou très très riche), chez Deyrolle, on y va surtout pour regarder. Il suffit de zieuter les prix pour faire passer toute velléité d’achat.
2. FLâNER DANS LES PASSAGES COUVERTS
Voilà une activité idéale pour découvrir Paris les jours de pluie !
Les fameux passages couverts parisiens ont vu le jour à l’initiative du Baron Haussmann qui avait à cœur de protéger la population aisée de l’agitation et de la saleté de la rue. Ainsi, ces passages regorgent de chics commerces et de restaurants dans lesquels les bourgeois pouvaient dépenser leur argent paisiblement.
Quant à nous, on se contera de regarder. Mais tu verras, là encore, c’est comme un musée, où les objets sont à vendre.
Alors qu’à l’époque, Paris comptait plus de 70 passages couverts, aujourd’hui, il en reste seulement 21 ouverts au public. Par chance, les plus beaux sont concentrés dans le 2ème et le 9ème arrondissement, pratique pour passer de galerie en galerie sans affronter les intempéries de l’extérieur, comme faisaient les bourgeois du 19ème siècle !
Allez, je te montre mes passages préférés !
La Galerie Vivienne
La Galerie Vivienne
4 rue des Petits-Champs / 6 rue Vivienne / 5 rue de la Banque. Ouverte tous les jours de 8h30 à 20h30.
La Galerie Vivienne, c’est celle que je préfère ! Sa chic verrière, sa somptueuse coupole, son sol en mosaïque colorée et ses nombreuses peintures et sculptures font d’elle l’une des plus élégantes galeries de Paris, et lui valent d’être inscrite aux monuments historiques depuis 1974 !
Pendant la période de Noël, elle est d’autant plus impressionnante qu’elle scintille de mille feux !
Inaugurée en 1826, elle accueille depuis du prêt-à-porter de luxe, des magasins de décoration d'intérieur ainsi que des cafés et des librairies de livres anciens. Dans les années 70, elle a même accueilli un défilé de mode organisé par Kenzo, de quoi lui donner un nouveau coup de peps !
La Galerie Colbert
6 rue des Petits-Champs / 2 rue Vivienne. Ouverte tous les jours non-stop.
Juste à côté, tu trouveras la Galerie Colbert, sa rivale !
Construire en 1823, elle été achetée par la Bibliothèque Nationale de France et abrite des instituts tels que l’Institut National d’Histoire de l’Art (INHA) et l’Institut National du Patrimoine (INP) ainsi que de nombreuses salles de cours et laboratoires de recherches d’écoles liées à l’histoire de l’art. Ici, pas de boutiques : la galerie est entièrement dédiée à la culture !
Mais même les intellectuels doivent se nourrir… Pour cela, il y a le Grand Colbert, une brasserie de style Art Nouveau classée monument historique !
Cette galerie aurait également connu sa légende : en 1830, le compositeur Berlioz y aurait entonné La Marseillaise depuis sa fenêtre, dans un arrangement inédit qu'il venait d'imaginer. La foule se serait alors attroupée sous ses fenêtres et aurait repris les paroles en chœur. On raconte même que, pris d'émotion, Berlioz se serait évanoui !
La Galerie Véro-Dodat (Paris 1)
19 rue Jean-Jacques-Rousseau / 2 rue du Bouloi. Ouverte du lundi au samedi, de 7h à 22h.
Idéalement située à quelques pas du musée du Louvre, la Galerie Véro-Dodat est classée monument historique depuis 1965. Son dallage en marbre et sa grande verrière donnent à la galerie une superbe profondeur qui compense sa longueur limitée. Depuis sa création en 1826, la galerie abrite de très chics (et très chères) boutiques : déco, ameublement, instruments de musique, galeries d’art, poupées anciennes,… Sans oublier l’arrière-boutique de Christian Louboutin que les fashionistas ne manqueront pas de remarquer !
Vous pouvez également faire une pause gourmande dans une brasserie de la galerie ou encore au restaurant « Véro-Dodat ».
Le Passage du Grand Cerf
145 rue Saint-Denis / 10 rue Dussoubs. Ouvert du lundi au samedi, de 8h30 à 20h30.
Ce passage a été ouvert en 1825 à l'emplacement de l'Hôtel du Grand Cerf. Mais c’est seulement en 1845 qu’il se dote de sa splendide verrière portée par son élégante structure en métal et fer forgé. Avec sa hauteur de près de 12 mètres, elle est l’une des plus hautes de Paris. Comme dans de nombreuses galeries parisiennes, le Passage du Grand Cerf est habité par de nombreuses boutiques de créateurs, décorateurs et artisans.
Pour la petite anecdote, c'est dans le Passage du Grand-Cerf qu’a été tournée une scène du film Zazie dans le Métro, de Louis Malle.
Le Passage des Panoramas
11 boulevard Montmartre / 38 rue Vivienne / 151 rue Montmartre. Ouvert tous les jours, de 6h à 00h.
Construit en 1799, le Passage des Panoramas, est le tout premier passage couvert de Paris ! Commerces de bouche et artisans s’y succèdent. Des philatélistes parmi vous ? Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils y trouveront leur bonheur : c’est the place to be de la philatélie à Paris ! Tu y trouveras en effet une flopée de boutiques dédiées à la vente de timbres de collection, mais aussi de cartes postales, de monnaies et d’autographes anciens !
En fin observateur que tu es, tu ne manqueras pas d’admirer les décors d’époque encore présents, comme ceux de l’ancien chocolatier Marquis et de l’imprimerie Stern, des symboles de l’urbanisme ambitieux de la fin du XVIIIe siècle.
Cerise sur le gâteau, tu peux clôturer ta visite par un spectacle au célèbre Théâtre des Variétés, inauguré en 1807 !
Le Passage Jouffroy
10-12 boulevard Montmartre / 9 rue de la Grange-Batelière. Ouvert tous les jours de 7h à 21h30.
Le Passage Jouffroy, construit en 1836 dans le prolongement du Passage des Panoramas, a profité de la popularité de ce dernier pour attirer la population parisienne qui le fréquentait. Le Passage Jouffroy a été le lieu de nombreuses révolutions architecturales : c’est ainsi qu’il détient le titre de premier passage parisien à être doté d'une charpente en métal et en verre et à être chauffé par le sol.
Il est tout à fait possible de passer une journée insolite complète dans ce seul et même passage : après ta visite du Musée Grévin, flâne dans ses nombreuses boutiques de livres et autres objets anciens puis fais une pause au célèbre salon de thé Valentin. Et pour finir la journée en beauté, rien de tel qu’une nuit à l’hôtel Chopin, du nom du compositeur qui appréciait ce passage dans le temps !
Dans le prolongement du Passage des Panoramas et du Passage Jouffroy, tu peux également aller faire un tour dans le Passage Verdeau, superbe lui aussi !
Il existe d’autres passages parisiens qui valent le détour, comme le Passage Choiseuil, où Céline a vécu enfant quand sa mère y tenait un magasin, ou encore le Passage Brady, qui, s’il n’est pas particulièrement joli, a la particularité d’être traversé par un boulevard et d’être couvert d’un côté mais pas de l’autre. Si tu préfères les restos indo-pakistanais, mauriciens ou réunionnais aux antiquités, le Passage Brady vaut d’autant plus le détour !
3. La balade de la Coulée Verte René-Dumont
Départ à Bastille au niveau du 40 Avenue Daumesnil (prendre l’escalier).
Bon, le nom ne vend pas du rêve. C’est clair.
Mais l’expression « il ne faut pas se fier aux apparences » n’a jamais été aussi vraie : crois-moi, elle vaut vraiment le détour.
Pour éclaircir tout de suite cette appellation malheureuse, la Coulée Verte revêt ce sobriquet en raison de la végétation qui la caractérise. En ce sens, en plein cœur de la ville, elle porte très bien son nom !
La Coulée Verte a été crée en 1988, à l’emplacement d’une ancienne ligne de chemin de fer (on en voit encore les traces par endroit !), mais ce n’est que récemment qu’elle a été entièrement piétonnisée. Anciennement appelée la « Promenade plantée », l’itinéraire mêle végétation et aménagements paysagers les plus modernes, offrant au promeneur des points de vue remarquables et diversifiés sur les quartiers récents et très typés du XIIe arrondissement.
Tantôt dans les airs, tantôt sous la terre (ce qui présente l’avantage non négligeable de t’éloigner de l’embrouillamini de chauffeurs, piétons, cyclistes et trotinetteurs pressés sur la route), la Coulée Verte te fera passer de viaduc en passerelle, de tunnel en tranchée, et traverser différents jardins.
Informations pratico-pratiques : la balade complète s’étend sur un peu moins de 6km, de Bastille au Bois de Vincennes, mais tu peux y entrer et en sortir à tout moment par des petits accès prévus à cet effet !
Une fois au Bois, tu peux soit te reposer dans l’herbe ou sur un banc soit, pour les plus téméraires d’entre vous, poursuivre l’aventure à bord d’une barque sur le lac du parc !
4. Prendre un goûter/apéro créatif à la Papoterie
13 Rue Ternaux, 75011 Paris
17 Rue Notre-Dame-de-Lorette, 75009 Paris
À la Papoterie, on papote, mais pas sans rien faire !
Le principe ? Papoter autour d’un goûter ou d’un apéro et peindre la pièce de céramique de ton choix.
Le tout se déroule sous des conseils avisés et une bienveillance à toute épreuve : à la Papoterie, pas de « j’suis nul.le » ! Tout le monde ressort heureux et valorisé d’avoir réalisé soi-même son petit objet du quotidien.
Quant à la pièce qui fera l’objet de ton art, tu as l’embarras du choix ! Vases, tasses, coquetiers, assiettes, bols, cache-pots, sous-plats,… Il y en a pour tous les goûts. Et tous les prix : suivant la pièce choisie, les prix vont de 10€ à 65€.
Envie de te lancer ? Il te suffit de réserver un créneau horaire pour un atelier de 2h30 sur leur site internet et dans l’établissement de ton choix (9ème ou 11ème arr.) ! Essaye de prévoir le coup quelques jours à l’avance, en notant bien que les Papoteries sont fermées le week-end et les lundis.
5. Passer une soirée dans un speakeasy
Sais-tu ce qu’est un « speakeasy » ?
L'expression trouve son origine pendant la prohibition, dans l'habitude qu'avaient les tenanciers de bars de demander à leurs clients de parler doucement (« pssst, speak easy ! ») lorsqu'ils demandaient de l'alcool, afin de ne pas attirer l'attention.
Tu l’auras compris, un speakeasy, c’est un bar caché ! Pas facile de tomber dessus par hasard, donc…
Quoi que. La tendance s’est beaucoup répandue à Paris ces-dernières années, si bien que beaucoup de speakeasy autrefois cachés sont maintenant connus de tous.
C’est le cas du Lavomatic, qui se cache derrière la porte d’une des 5 machines à lessiver d’un vrai lavomatique (les autres machines étant fonctionnelles par ailleurs), ou encore de L’Épicier, caché derrière une fausse étagère d’une épicerie quelconque.
Aujourd’hui, il existe à Paris des TAS de speakeasy, et une flopée d’articles sur le sujet.
Je vais donc te présenter ceux qui me semblent les plus sympas, en essayant aussi de mettre en avant des bars moins connus (une manière de t’épargner une éventuelle file archi décourageante avant d’entrer).
L’ambiance de ces bars, généralement réputés pour leurs cocktails subtils, est plutôt chic, et les prix, plutôt élevés. Il faut en moyenne compter entre 14€ et 20€ pour un cocktail.
Il existe différents styles de speakeasy, les plus typiques étant ceux qui nous plongent au cœur de la période de prohibition américaine des années 20. Ce sont mes préférés, non seulement pour la dimension « historique » du concept mais aussi parce que j’adore l’Art Déco (qui s’épanouit dans ces années-là). Le tout donne une ambiance très chic et anachronique à l’expérience. Et entre nous, je préfère payer mon cocktail 15€ dans un endroit chic que dans une cave (oui, il y a des speakeasy-caves, et l’idée est très chouette aussi, mais c’est tout simplement moins mon truc).
Dans ce genre là, on peut citer le Moonshiner (derrière le frigo de la pizzeria Da Vito dans le 11e) et le Mobster Bar (accessible depuis une vieille cabine téléphonique) ou encore Gentleman 1919, moins connu que les deux derniers mais tout aussi original : il faut traverser un salon de coiffure/barbier vintage pour accéder à un bar à cocktail dépaysant qui propose même une sélection de cigares.
Plus classiques (et donc plus connus) mais dont le concept original vaut le détour :
Le Rehab (1er arr.), entre boudoir de style Belle-Époque et arrière-boutique d’apothicaire
Le Rehab se situe au sous-sol du Normandy Hotel. Une fois arrivé, tu y trouveras une atmosphère mystérieuse et plein de meubles insolites (dont un lit à opium !). Derrière le bar, c’est moins un barman qu’un chimiste qui est au commande pour préparer de délicieux cocktails par des procédés pour le moins originaux.
La grande spécialité du Rehab, c’est d’abord les cocktails au CBD ! Mais ici, chaque cocktail est une expérience : entre un cocktail moléculaire non-liquide et une théière qui crache du feu, on en prend plein la vue et les papilles !
On notera également la démarche zéro-déchet chère aux propriétaires du bar : tout ce qui peut l’être est fait maison, réduisant de 70% leur production de déchet!
Le Liquorium, un cabinet de curiosité et de docteur fou
Pourquoi passer par Doctolib quand on peut aller au Liquorium ? Au sous-sol du bar/brasserie The Drink Doctor , c’est Docteur Drink qui nous concocte des remèdes délicieux pour soigner tous les maux. C’est garanti, on se sent toujours beaucoup mieux en sortant du Liquorium.
Et tu sais quoi ? Le Docteur donne aussi des cours. À l’aide de son grimoire et de tubes à essais, tu peux réaliser toi-même ta potion sous ses conseils avisés. Il faut compter 125€ pour une activité de 1h30-2h pour 4 à 6 personnes.
Et maintenant, parmi les speakeasy moins connus :
Il est assez récent, alors dépêche toi d’y aller avant que l’info ne se répande dans toutes les petites oreilles parisiennes !
Planqué au sous-sol de Bao Express, il arbore un design mêlant ambiance eighties et clandé hongkongais. L’élément de déco phare ? Sa piscine… au plafond !
La Maison Souquet, une ancienne maison de plaisir de la Belle-Époque transformée en hôtel 5*
Ici, le cadre est plus intimiste encore que dans les autres speakeasy.
Il faut passer la porte de la Maison et se glisser au Salon des Petits Bonheurs pour y découvrir le magnifique bar à cocktails de la maison. On pénètre alors dans un univers hors du temps et confidentiel par sa taille réduite, sa disposition et son ambiance tamisée.
Entièrement décoré par Jacques Garcia, ce lieu chargé d’histoire respire l’authenticité.
Du côté des cocktails, chacun porte le nom d’une ancienne courtisane ! Le petit +, la carte est renouvelée chaque saison !
Enfin, on peut encore évoquer le 1905 et son ambiance swing, au premier étage des Vins des Pyrénées, un vieux bistrot qui fût le repère de Charles Baudelaire, Jeanne Duval, Paul Cézanne ou encore Jim Morrison, le Spootnik, à l’ambiance conquête spatiale soviétique, ou encore La Dépendance, moins connue et spécialisée en gin.
Mais qui sait, tu vas peut-être en découvrir un par hasard.
6. Déguster le vin de Montmartre (lors des vendanges d’octobre de préférence !)
Sur le flanc nord de la Butte Montmartre, le long de la rue des Saules et de la rue Saint-Vincent.
La France est réputée pour ses vins, c’est un fait. Mais Paris… ?
Montmartre possède pourtant sa vigne, le Clos-Montmartre, sur laquelle vécut autrefois Aristide Bruant et où sont venus peindre Toulouse-Lautrec et Renoir.
Longtemps considéré comme de la piquette, aujourd’hui, il en va tout autrement de la réputation du vin de Montmartre. Malheureusement, quelques centaines de bouteilles seulement sont produites chaque année : on n’en trouve donc pas n’importe où ! En tous cas, le vin est vendu aux enchères et les bénéfices vont aux œuvres sociales de la Butte.
De même, les vignes ne sont accessibles au public que lors d’occasions exceptionnelles, comme la Fête des jardins, organisée chaque automne depuis 1980 par la mairie de Paris, mais surtout la Fête des Vendanges, qui a lieu chaque deuxième week-end d’octobre. Chaque année, la cuvée est parrainée par une célébrité : la première fête des vendanges, en 1934, a ainsi été parrainée par Fernandel et Misstinguett ! C’est l’occasion non seulement de découvrir la vigne, mais aussi de déguster son vin ! Je vous recommande les visites commentée organisées (à réserver).
Autre possibilité (plus onéreuse) : chaque samedi à 14h30, pour 36€, le Comité des Fêtes de Montmartre et le Musée de Montmartre proposent en une visite commentée des vignes suivie d'une dégustation de vin du Clos Montmartre (avec verre gravé offert) et d'un accès libre au musée (incluant l'exposition temporaire actuelle). Pour cela, il suffit de réserver sur le site du musée !
7. Bonus (un peu honteux) : déguster un rhum au baba (oui oui) au Select
99 Boulevard du Montparnasse 75006
Le Select est une grande brasserie typiquement parisienne au décor Art Déco très sympa.
Je ne peux pas dire grand-chose des plats que l’on y sert (mais il parait qu’on y mange très bien), si ce n’est du baba au rhum.
Alors, qu’a-t-il donc de si spécial ?? En lui-même, rien de bien particulier (même s’il est très bon !), mais la petite astuce, c’est que le serveur laisse la bouteille de rhum à table… Vous avez compris la supercherie : en commandant un baba au rhum, il est possible d’ingurgiter plus de rhum qu’autre chose…
Bon, ce dernier bon plan insolite n’est pas très glorieux, mais une chose est sûre, vous ne le trouverez nulle part ailleurs !
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À très bientôt pour d’autres découvertes insolites !
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